dimanche 27 novembre 2011

URGENT : La zone EURO sauvée ???

Historique de la crise :


Publié le 23/11/2011
FESF : la proposition française n'est "plus sur la table"
La proposition de la France, qui souhaitait accorder une licence bancaire au Fonds de soutien de la zone euro pour qu'il puisse se refinancer auprès de la Banque centrale européenne, aurait été abandonnée samedi, selon le ministre des finances néerlandais. Une réunion entre Merkel et Sarkozy doit avoir lieu dans la soirée.

Publié le 22/10/2011
"Les Français ne bougent pas d'un iota" se plaint Merkel
Les divergences entre la France et l'Allemagne inquiètent avant le sommet européen pour résoudre la crise de la dette européenne, dimanche. Berlin essayaient vendredi de faire pencher la balance de son coté.

Publié le 21/10/2011
Zone euro : Berlin et Paris peinent à s'entendre
Après une première rencontre mercredi soir, Angela Merkel et Nicolas Sarkozy doivent donc se retrouver samedi à la veille du sommet européen pour préparer une "réponse globale et ambitieuse" à la crise... et prévoient déjà un autre sommet mercredi.

Publié le 20/10/2011
Crise européenne : Sarkozy discret à Francfort, rien n'a filtré
Le président de la République s'est rendu à Francfort mercredi pour faire avancer un accord sur le règlement de crise de la zone euro. Nicolas Sarkozy a quitté la séance de discussions avec Angela Merkel et d'autres responsables politiques sans faire de commentaire sur son contenu.

Publié le 19/10/2011
Grèce : manifestations monstre, le projet de loi de rigueur adopté
Le projet de loi sur les nouvelles mesures d'austérité en Grèce, vivement contesté dans la rue mercredi, a été adopté dans la soirée par le Parlement lors d'un premier vote "sur le principe". Un second vote définitif sur les articles et sur l'ensemble du projet de loi est prévu jeudi soir.

Publié le 19/10/2011
La Grèce sous tension avant "la mère de toutes les grèves"
Alors que le gouvernement grec compte voter des nouvelles mesures d'austérité exigées par l'Union européenne, la Grèce se prépare à vivre 48 heures de grève générale. Sur fond d'extrême tension sociale dans un pays déjà exsangue.

Publié le 19/10/2011
Sommet européen : Sarkozy dramatise, Merkel relativise
Nicolas Sarkozy et François Fillon ont donné un ton dramatique, mardi, aux prochains rendez-vous internationaux : le conseil européen de dimanche sur la crise de la zone euro et le G20 de début novembre.

Publié le 18/10/2011
Grèce et zone euro : début d'un week-end marathon
Le sommet européen qui a débuté ce vendredi à Bruxelles sera marqué par les divergences entre Paris et Berlin sur le rôle du fonds de secours européen. Dimanche, lors du sommet des chefs d'Etat, c'est même la récession possible de l'Europe qui est en jeu.

Publié le 21/10/2011
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Les plus récentsLes plus vusVue : 15 338 fois
Sauvetage de la zone euro : pourquoi l'Allemagne bloque
Publié le 23 novembre 2011

DECRYPTAGE - Angela Merkel et Nicolas Sarkozy rencontrent ce jeudi le successeur de Silvio Berlusconi. Ce dernier pourrait jouer le rôle d'arbitre entre Paris et Berlin sur le renforcement du rôle de la BCE.
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FESF : la proposition française n'est "plus sur la table"
Publié le 22 octobre 2011

La proposition de la France, qui souhaitait accorder une licence bancaire au Fonds de soutien de la zone euro pour qu'il puisse se refinancer auprès de la Banque centrale européenne, aurait été abandonnée samedi, selon le ministre des finances néerlandais. Une réunion entre Merkel et Sarkozy doit avoir lieu dans la soirée.
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"Les Français ne bougent pas d'un iota" se plaint Merkel
Publié le 21 octobre 2011

Les divergences entre la France et l'Allemagne inquiètent avant le sommet européen pour résoudre la crise de la dette européenne, dimanche. Berlin essayaient vendredi de faire pencher la balance de son coté.
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L'avantage : une telle solution permettrait d'éviter d'attendre une réforme des traités, sur laquelle se sont accordés les deux dirigeants cette semaine et prévoyant une rigueur accrue des finances publiques, mais susceptible de traîner en longueur. "S'appuyant sur ces mesures", poursuit le journal, "il devrait y avoir une majorité au sein de la Banque centrale européenne pour une intervention plus forte sur les marchés de capitaux". Egalement cité par le Welt am Sonntag, un banquier central assure : "Si les politiques se mettent d'accord sur une démarche globale, la BCE viendra à la rescousse".

Trouver une parade avant le 8 décembre

Il y a urgence : cette semaine, les deux principales économies de la zone euro ont été la cible des marchés et agences de notation, signe que la tempête n'épargne plus personne, même les Etats considérés il y a peu encore comme invulnérables. Les agences Fitch et Moody's ont ainsi accentué la pression sur la France en laissant planer la menace d'une perte de sa note "AAA", gage d'excellence sur les marchés. Plus surprenant, l'Allemagne n'a pas réussi à attirer autant d'investisseurs que voulu lors d'un emprunt obligataire mercredi. Résultat : les Cassandre donnent de la voix pour prédire une fin imminente de la zone euro. Dans une interview au quotidien français 20 minutes, l'ancien conseiller du président français François Mitterrand Jacques Attali estime qu'il y a "plus d'une chance sur deux pour que la monnaie unique ne soit plus là" d'ici la fin de l'année. D'où le branle-bas-le combat général dans toute la zone euro, pour trouver la parade en vue d'un sommet des dirigeants européens les 8 et 9 décembre qui s'annonce à nouveau comme crucial. Car il apparaît désormais évident que le Fonds de secours financier de la zone euro qui devait s'atteler à éteindre l'incendie n'a pas les moyens nécessaires pour empêcher la faillite de pays aussi importants que l'Italie et l'Espagne. En outre, les travaux engagés en vue de renforcer sa force de frappe à 1000 milliards d'euros peinent à progresser.

Mais Angela Merkel est restée jusqu'à présent publiquement inflexible sur une éventuelle évolution du rôle de la BCE, dernier recours si le Fonds de secours s'avère insuffisant. Tout au plus la chancelière allemande et le président français ont-ils conclu à Strasbourg un cessez-le-feu sur la BCE en acceptant de s'abstenir de lancer des appels dans un sens ou l'autre. Dans l'entourage du chef de l'Etat français, on s'est réjoui de ce que la position permette de facto à la BCE d'intervenir de son plein gré sans que cela suscite des critiques de Berlin. L'idée étant qu'au moins Berlin ne mette pas de bâtons dans les roues du conseil des gouverneurs de la BCE si une majorité devait s'y dessiner - contre l'avis de la Bundesbank allemande - pour sortir l'artillerie lourde et racheter en très grande quantité des obligations sur les marchés.

L'hypothèse évoquée par le Welt am Sonntag devrait donc précisément permettre de lever les freins au sein de la BCE pour intervenir massivement sur les marchés. En échange d'un pacte de stabilité "recentré" - sachant qu'il engage actuellement les 17 pays de la zone euros à limiter les déficits budgétaires à 3% du PIB, et l'endettement à 60% du PIB. Une porte-parole du gouvernement allemand a d'ores et déjà confirmé l'existence de discussions notamment avec la France pour un renforcement de l'Union économique et monétaire à propos d'un changement limité des traités existants. L'Allemagne et la France souhaitent néanmoins "contribuer (...) par des vues communes de manière appropriée", a-t-on souligné. Le président du Conseil européen, le Belge Herman Van Rompuy a été officiellement chargé de faire ce type de propositions, a-t-on rappelé.


le 27 novembre 2011 à 07:48

Cela donne un espoir pour que la BCE intervienne beaucoup plus ! C'est ce que les marchés attendent pour retrouver la confiance !

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